Auteur/autrice : Isabelle Briand
La FFEA soutient le congrès de l’assurance dommages et de la gestion de sinistres Inside IARD 2022 et sera présente lors des échanges.
François Mondello, président de la FFEA, interviendra à 11h30 à la table ronde intitulée : A l’apogée des technologies automobiles, quels leviers de satisfaction et différenciation client pour l’assurance auto ?
- Technologies embarquées dans l’automobile : Quelles conséquences sur le parcours client ? Quelle pédagogie en amont du sinistre pour permettre une réparation «sans surprise » ?
- Accompagnement des assurés sur ces nouvelles technologies : Quid de la collaboration assureur/réseaux ?
- Quel enjeu de la coopération multi-acteurs pour le consortium du «Passport for Connected Car » ? »
Publié le 12/04/2022 par Romain Thirion
Malgré leur démocratisation auprès de l’ensemble du parc roulant européen, les systèmes d’aides à la conduite – les fameux ADAS – vont continuer d’augmenter le coût moyen des réparations, qui ne sera pas compensé par la limitation des sinistres qu’ils promettent.
C’est assumé : le niveau 5 d’automatisation du véhicule est désormais clairement identifié comme « utopique » par les ingénieurs qui conçoivent les ADAS. C’est tout du moins l’aveu qu’a fait Antoine Lafay, directeur recherche assistance à la conduite de Valeo, lors de l’Atelier du MAP organisé le 1er avril dernier autour et intitulé « Systèmes d’aide à la conduite : impacts et évolutions ? » Reste que le niveau 4 – l’automatisation partielle – est atteignable dans un environnement d’utilisation donné et que le niveau 3, celui de l’automatisation conditionnelle, sont atteignables, eux.